ne parler que de l'aspect ondulatoire de la me- sure. J'aurais dû parler aussi de l'hypothèse in- troduite par Bohm et Vigier pour justifier la loi de probabilité de présence en Y Y et qui est sous-jacente à la théorie de la mesure de M. de Broglie, à savoir l'hypothèse des fluctuations subquantiques qui perturbent continuellement la LUOV position de la particule sur l'onde. C'est là une source de perturbations aléatoires dont M.Bonsack évoque la possibilité; mais la cause qu'il imagine lui-même (à savoir la perturbation introduite partem l'analyseur au moment de la séparation des trains d'ondes) ma paraît également à retenir.
Cela seul suffit pour que nous ne puissions plus relier biunivoquement la distribution des particules dans les paquets d'ondes sortis de 1'analyseur (donc la statistique des résultats des mesures) à leurs positions dans différentes régions de l'onde initiale.
Cependant, il n'est même pas nécessaire de faire appel à cet argument pour parvenir à la même con-no clusion. En effet, l'onde initiale est de la forme Y(x,y,z) = a(x,y,z) ei (x, y, z) et la densité de probabilité de présence y est égale à Y T*- = p(x,y,z) a2 (x,y,z). Mais nous savons d'après la mécanique quantique que les probabilités afférentes aux différentes valeurs d'une grandeur physique erot nous sont données par les coefficients d'un cer- tain développement de Fourier de Y, et comme c'est là un résultat vérifié par l'expérience, toute ug théorie à variables cachées doit absolument le re- trouver.
Or le calcul de ces coefficients de Fourier fait évidemment intervenir la phase (x,y,z) de l'onde. Donc si nous prenons pour paramètres ca- 34 chés les coordonnées de position de la particule dans l'onde, comme. le fait la théorie de la double solution, nous ne pouvons pas prétendre déduire les probabilités des résultats de mesure de la seule up distribution p(λ) initiale, car cela reviendrait
arbol.Venons en maintenant à la question essentielle de la détermination des probabilités des résultats de mesures qui a été posée avec une particulière clarté par M. Bonsack. J'ai sans doute eu tort de,Launched in November 1973 and concluded in October of 1984 after thirty-six issues, it was neither a journal nor a newsletter, functioning more like today’s preprint servers.
A well-known quote, contained in a blockquote element.
A well-known quote, contained in a blockquote element.
A well-known quote, contained in a blockquote element.
